• A méditer

    Il est parfois des phrases qui marquent, qui détiennent une espèce de vérité absolue. Et quand on y réfléchit, il est vrai que ça se vérifie souvent. 

    A vous de méditer sur ces p'tites phrases qui contiennent une grande part de vrai.

  • "Quand je regarde ma vie et sa couleur secrète, j'ai en moi comme un tremblement de larmes. Comme ce ciel. Il est à la fois pluie et soleil, midi et minuit. Je suis tout cela à la fois. Je suis sûr qu'il est des moments où vous ne me reconnaîtriez pas. Extrême dans le malheur, démesuré dans le bonheur, je ne sais pas dire." (Albert Camus)

     

    "On devrait vider nos cœurs, comme on vide un grenier. Jeter les vieilles querelles qui l'encombrent, les tristesses qui prennent trop de place." (Ondine Khayat)

     

    "Si c'était à recommencer, je te rencontrerais sans te chercher." (Paul Eluard)

     

    "Rien n'est jamais acquis une fois pour toutes avec les êtres, ni en amour, ni en amitié." (François Mauriac)

     

    "Je connais des gens heureux qui ont l'air triste, et des gens malheureux qui plaisantent toujours. S'ils plaisantent, c'est peut-être pour être moins malheureux. L'humour est antalgique, on l'utilise quand on a mal." (Jean-Louis Fournier)


    votre commentaire
  • La plus grande tragédie de la vie n'est pas la mort, mais ce qui meurs en nous pendant que nous vivons.

     

    Tes rêves te demandent de risquer, de délaisser le confort, d'exister dans le monde, d'être différent, de déranger et de croire en toi.

     

    Quand une personne pleure sans motif, c'est parce qu'elle évacue toutes les fois où elle a voulu pleurer, mais qu'elle a souri.

     

    Faites vos projets en silence. La réussite se chargera du bruit.

     

    Il vaut mieux se retirer et laisser un bon souvenir que d'insister et de se transformer en quelque chose de pesant. On ne perd pas ce qu'on n'a jamais eu, on ne garde jamais ce qui n'est pas à nous et on ne peut pas s'accrocher à ce qui ne veut pas rester. Si on a le courage de dire "au revoir", la vie nous le rendra avec un nouveau "bonjour".


    7 commentaires
  • Suite à l'article sur "Bubble Gum" de Lolita Pille, voici quelques citations du roman qui m'ont marqué :

     

    "Dans ce monde, des millions d'êtres, relativement normaux, donc plutôt laids et plutôt bêtes, comme le veut la norme, revendiquaient leur droit d'aller montrer leur laideur et leur bêtise à des millions d'autres êtres laids et bêtes, qui se délectaient du pathétique de leurs semblables, ignorant qu'en fait d'écran, il n'y avait qu'un miroir."

     

    "Était-ce la télé qui faisait le con, ou le con qui faisait la télé? On pouvait tester son couple à déjeuner, et son inculture à dîner. Des gamines de huit ans voulaient être sexy. D'autres n'avaient trouvé pour se faire remarquer que de revendiquer leur droit de porter le voile au lycée. Finalement, à l'école, on a bel et bien interdit le port du voile, et celui du string aussi."

     

    "Dire des idioties dans ce monde où tout le monde réfléchit profondément, c'est le seul moyen de prouver que l'on a une pensée libre et indépendante."

     

    "La musique diffuse la clarté du paradis perdu, le bleu des souvenirs."

     

    "Le non-film est un genre nouveau, un genre qui colle parfaitement avec notre époque nihiliste, un genre qui illustre de façon significative la dégénérescence de cette fin de siècle."


    1 commentaire
  • Je vais vous présenter aujourd'hui des citations extraites du livre "Hell" de Lolita Pille. Un de mes ouvrages préférés.

     

    "Ce que l'on nomme l'amour n'est que l'alibi rassurant de l'union d'un pervers et d'une pute, que le voile rose qui couvre la face effrayante de l'inéluctable Solitude."

     

    "L'amour, c'est la quintessence du Beau, du Bien, du Vrai, qui refaçonne votre sale gueule, qui sublime votre existence mesquine."

     

    "Mieux vaut tomber que ne jamais s'élever."

     

    "L'humanité souffre. Le monde est une vaste plaine après un carnage, jonchée d'agonisants qui râlent et se tordent. Les "gens" déambulent, anonymes, et dissimulent une plaie béante sous leurs airs impassibles."

     

    "Désillusionnée avant l'âge, je dégueule sur la facticité des sentiments."

     

    "Je suis le symbole éclatant de la persistance du schéma marxiste, l'incarnation des privilèges, l'effluve capiteux du capitalisme."

     

    "Embrigadée dans le tourbillon polycéphale des tentations ostentatoires, je suis la muse du dieu Paraître sur l'autel de qui j'immole gaiement chaque mois l'équivalent de votre salaire."

     

    "J'ai toujours aimé la souffrance. Je me complaisais à exacerber mes déceptions, mes réflexions amères."


    3 commentaires
  • Faire semblant d'aller bien est plus facile que d'avoir à expliquer à tout le monde le contraire.

     

    J'ai toujours eu peur de perdre les gens que j'aime. Mais parfois je continue à me demander : "Y a-t-il quelqu'un qui a peur de me perdre ?"

     

    La famille n'est pas toujours une question de sang. Ce sont les personnes de ta vie qui t'aiment et te veulent dans la leur, qui t'aiment pour tout ce que tu représentes. Ce sont ceux qui font tout pour te faire sourire et t'aiment sans condition.

     

    Il vaut mieux se retirer et laisser un bon souvenir plutôt que d'insister et de se transformer en quelque chose de pesant. On ne perd pas ce qu'on n'a jamais eu, on ne garde jamais ce qui n'est pas à nous et on ne peut pas s'accrocher à ce qui ne veut pas rester. Si on a le courage de dire "au revoir", la vie nous le rendra avec un nouveau "bonjour".


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique