• Méditations du 21 juin 2015

    Le jour où on ne doute plus, on sait qu'on est juste devenu con et prétentieux.

     

    Ne prends jamais de décision définitive sur une émotion passagère.

     

    Si votre quotidien vous paraît pauvre, ne l'accusez pas. Accusez-vous vous-même de ne pas être assez poète pour appeler à vous ses richesses. (Rainer Maria Rilke, correspondance du 17 février 1903).

     

    L'amour est comme un souffle, un jour il m'inspire, un autre il expire.

     

    Avant de porter un jugement sur mon caractère et ma vie, mettez vos chaussures, parcourez mes chemins. Vivez mes chagrins, mes douleurs, mes doutes. Parcourez mes galères, tombez là où je suis tombée, relevez-vous comme je me suis relevée... Après ce long voyage, là seulement, vous pourrez vous permettre de me juger.

    « Méditations du 19 juin 2015Un grand merci »

  • Commentaires

    1
    Lundi 22 Juin 2015 à 12:06

    J'suis toujours tes méditations, on se laisse emporter par ces fragments de leçons, qui résonnent ou pas, qui s'accrochent à nos coeurs, ou continuent de couler sur le fleuve, qui posent un peu de pommade sur les coeurs, qui tendent une main,

    Merci

    2
    Lundi 22 Juin 2015 à 19:50

    Merci pour ce beau commentaire.

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