• Quand vous traitez avec une commère, souvenez-vous de ceci : quiconque vous raconte des choses sur les autres en raconte sur vous également. Soyez sur vos gardes.

     

    Certaines personnes sont comme les fruits, ils ne mûrissent pas tous en même temps et les uns sont sucrés, d'autres amers. Deux choix s'offrent à vous, les manger ou les jeter !

     

    A ceux qui disent : "avec ton sale caractère tu n'iras pas loin", je réponds : "à partir du moment que je suis loin de vous, ça me suffit".

     

    Il y a des êtres qui ont le pouvoir de nous émouvoir, non pas par ce qu'ils disent, mais par la simplicité et la pureté de leur âme, par la grandeur et la beauté de leur cœur, par l'humilité et la sagesse de leur essence, des êtres d'exception qu'on ne croise pas tous les jours.


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  • La vie se vit d'essais et d'erreurs. Toute relation n'est pas destinée à fonctionner.  Parfois elle est seulement destinée à t'apprendre quelque chose.

     

    Chaque blessure laisse une cicatrice et chaque cicatrice raconte une histoire. Une histoire qui dit : "J'ai survécu".

     

    Les amis sont ces gens rares qui demandent de vos nouvelles et attendent d'avoir la réponse.

     

    Je suis fort(e) car j'ai été faible. Je suis sage car j'ai été stupide. Je suis reconnaissant(e) parce que j'ai vu pire. Je ris parce que j'ai connu la tristesse. J'aime attentivement parce que j'ai vécu le chagrin. Je chéris à chaque instant les gens que j'aime parce que j'ai vécu la perte. Je vis au jour le jour car demain, rien n'est promis.


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  • En ce moment a lieu le concours de poèmes d'Asladjimi. Pour en connaître les règles, rendez-vous ici.

    Voici le poème que je propose : 

     

    La tête dans les nuages

     

    Pensive, elle regarde le ciel,

    Allongée sous cet arbre frêle,

    Elle profite de cette solitude éphémère,

    Se laissant bercer par le murmure de la mer.

     

    Chantonne dans sa tête un perpétuel refrain,

    Comme cette mouette qui rit au loin,

    Elle n'ose sortir le silence de son écrin,

    Toujours elle attend le lendemain.

     

    Comment sortir tous ces mots ?

    Plutôt mourir que d'entendre leur écho,

    Leur reflet se lit dans ses yeux indigo,

    Triste mélancolie des maux.

     

    Les nuages tracent leur route,

    Eux, au moins, n'ont pas de doutes,

    Du vent ils sont à l'écoute,

    Et du temps ils s'en foutent.

     

    Les secondes s'égrènent,

    Et toujours ces chaînes,

    Mais cette pause sereine

    A calmé un peu sa peine.

     

    Cette jeune fille me ressemble,

    Elle sourit sous tous les angles,

    Comme moi elle tend les bras,

    Vers un espoir qui l'attend ici-bas.

     

    LittleShadow


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  • Ce n'est pas toi qui changes, ce sont les gens qui te voient autrement. Et quand ça marche trop pour toi, ça les dérange.

     

    Être gentil et avoir un bon cœur ne veut pas dire pour autant être idiot et faible.

     

    Parfois, quand je dis : "ça va merci", j'aimerais que quelqu'un me regarde dans les yeux et me dise : "ne mens pas".

     

    Pleurer le soir sans que personne ne le sache, et le lendemain faire comme si rien ne s'était passé. La nostalgie vient lorsque le présent n'est pas à la hauteur du passé.  Oublier n'est pas facile, des souvenirs restent, des folies se gardent dans notre mémoire, et c'est en repensant à tout ça qu'une larme sort et que notre cœur se vide. Laissez couler vos larmes pour guérir.


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  • Mes pensées parfois s'égarent,

    Se projettent vers un futur incertain,

    Qu'est-ce qui m'attend demain ?

    Pourvu que ça arrive au plus tard.

     

    Des questions me taraudent,

    Des fantômes rôdent,

    Un goût d'inachevé

    Qui n'a de cesse de s'accentuer.

     

    Je ressens un manque,

    J'attends dans ma planque,

    Est-ce qu'il se comblera un jour ?

    Amour un jour, amour toujours.

     

    Celui d'un père parti dans la douleur,

    Celui d'une amie partie avec mon coeur,

    Amours brisées par la vie,

    Pourquoi suis-je encore ici ?

     

    Peur obsédante du néant,

    L'impression de ne pas assez donner,

    De ne pas assez profiter des gens,

    De monter l'échelle des regrets.

     

    J'avance d'un pas, je recule de deux,

    J'expire de l'air vicié,

    Pour en inspirer un plus vicieux,

    La voilà ma réalité.

     

    LittleShadow


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