• "Les tribulations d'une caissière" d'Anna SamRésumé : " Tu vois, si tu ne travailles pas bien à l'école, tu finiras caissière comme la dame. " C'est dit. C'est pesé, emballé, étiqueté. Et pourtant... Elle s'appelle Anna, elle a vingt-huit ans, un diplôme universitaire de littérature et huit ans d'expérience derrière une caisse de supermarché. Une caisse qui n'entend que les codes-barres. Un métier peu propice aux échanges, invisible, des gestes automatiques... Entre les bips qui ponctuent ses journées, Anna aurait pu se sentir devenir un robot si elle n'avait eu l'idée de raconter son travail. Au fil des jours, ces menues anecdotes qui la font rire, l'agacent ou l'émeuvent sont ses tickets de caisse à elle. Elle vous a vu passer à la caisse. Vous avez été des clients faciles ou des emmerdeurs, riches ou pauvres, complexés de la consommation ou frimeurs. Vous l'avez confondue avec une plante verte ou vous lui avez dit bonjour, vous avez trépigné à l'ouverture du magasin ou avez été l'habitué nonchalant des fermetures. Anna, vous l'avez draguée, méprisée, insultée. Il ne se passe rien dans la vie d'une caissière ? Maintenant, prenez votre chariot et suivez Anna jusqu'à sa caisse. Celle que vous oubliez de voir vous a bien vu et raconte.  

     

    Une chose à noter : non, les hôte(sse)s de caisse ne sont pas des potiches qui n'ont rien dans la tête... ce sont très souvent des personnes qui ont fait ou qui font des études supérieures et qui n'ont pas toujours le choix. Alors bravo et courage à ceux qui exercent ce métier (par obligation ou par passion...), parce que je sais qu'il en faut beaucoup ! Un livre que l'on devrait conseiller non seulement aux personnes du métier pour les faire sourire mais également aux autres... afin qu'elles prennent conscience des exigences d'un métier en apparence (en apparence seulement) si facile et ne demandant aucune qualification à la base...

     

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  • "Quand je regarde ma vie et sa couleur secrète, j'ai en moi comme un tremblement de larmes. Comme ce ciel. Il est à la fois pluie et soleil, midi et minuit. Je suis tout cela à la fois. Je suis sûr qu'il est des moments où vous ne me reconnaîtriez pas. Extrême dans le malheur, démesuré dans le bonheur, je ne sais pas dire." (Albert Camus)

     

    "On devrait vider nos cœurs, comme on vide un grenier. Jeter les vieilles querelles qui l'encombrent, les tristesses qui prennent trop de place." (Ondine Khayat)

     

    "Si c'était à recommencer, je te rencontrerais sans te chercher." (Paul Eluard)

     

    "Rien n'est jamais acquis une fois pour toutes avec les êtres, ni en amour, ni en amitié." (François Mauriac)

     

    "Je connais des gens heureux qui ont l'air triste, et des gens malheureux qui plaisantent toujours. S'ils plaisantent, c'est peut-être pour être moins malheureux. L'humour est antalgique, on l'utilise quand on a mal." (Jean-Louis Fournier)


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  • Je reviens d'une semaine de vacances dans le Lot, un département magnifique de par ses paysages, ses villages pittoresques. Et notamment j'ai fait une randonnée qui a permis de découvrir la vallée du Célé. Des paysages superbes, un plaisir pour les yeux.

    Pour ceux que ça intéresserait, il s'agit de la randonnée du "Chemin de la Pierre Levée" de 4 km. Le départ se fait du parking de l'église de Sauliac-sur-Célé. Elle est d'un niveau facile. S'équiper de bonnes chaussures car chemin assez caillouteux par endroits.

    Vallée du CéléVallée du Célé

    Vallée du Célé

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  • Tout le monde a certainement déjà entendu le tube planétaire du groupe britannique Faithless "Insomnia". Une mélodie entêtante qui dégage quelque chose de particulier, qui ne me laisse pas indifférente. De nombreux remix ont été faits, mais pour moi, le meilleur, est celui réalisé par Calippo, DJ de Genève. Je vous propose de le découvrir :

     

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  • La plus grande tragédie de la vie n'est pas la mort, mais ce qui meurs en nous pendant que nous vivons.

     

    Tes rêves te demandent de risquer, de délaisser le confort, d'exister dans le monde, d'être différent, de déranger et de croire en toi.

     

    Quand une personne pleure sans motif, c'est parce qu'elle évacue toutes les fois où elle a voulu pleurer, mais qu'elle a souri.

     

    Faites vos projets en silence. La réussite se chargera du bruit.

     

    Il vaut mieux se retirer et laisser un bon souvenir que d'insister et de se transformer en quelque chose de pesant. On ne perd pas ce qu'on n'a jamais eu, on ne garde jamais ce qui n'est pas à nous et on ne peut pas s'accrocher à ce qui ne veut pas rester. Si on a le courage de dire "au revoir", la vie nous le rendra avec un nouveau "bonjour".


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